vendredi 12 juin 2015

De loin tout semble calme...

Le 6, 7 et 8 juin de l'année La Grosse Bertha compagnie fêtait son inauguration!
Ce fut un beau festival, riche en émotions diverses. Nous avons, avec  la conteuse Julie Dufils, fait une nouvelle exposition de notre étape de travail. La confrontation textes et des images est bien plus percutante que dans la première.

On entre par une petite porte, gardé par un rideau noir. Derrière le rideau...il fait sombre. Seule la faible flamme du lampe à huile  luit, sur une table
Une poupée au front brisé est appuyée sur une vieille machine à écrire...sur la machine à écrire, une lampe frontale. Vous en aurez besoin pour explorer cette chambre et découvrir les spectres douloureux, les cris étouffés, hontes inavouables qui vous entourent...C'est la part de l'ombre qui, ici, est à l'honneur, les voix méchantes qui grincent au fond du coeur s'expriment par les mots de Julie Dufils et mes tetrapackogravures (au sujet desquelles je me suis assez étendu quelques articles plus loin)


















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